skip to main |
skip to sidebar
Gilles Proulx: Le nom du NON | Chroniqueurs | Opinion
Le nom du NON | Chroniqueurs | Opinion | Le Journal de Montréal
Un nombre effarant de Néo-Québécois ne parlant pas le français vont s’installer dans l’Ontario québécois, c’est-à-dire l’ouest de l’île qu’on appelle le West Island, et n’apprennent non seulement jamais le français, mais apprennent à voir le Québec à travers les yeux du journal The Gazette. Cela pose-t-il problème? «NON», disent les libéraux ...
Les libéraux bien sûr ne disent mot sur l’anglicisation des quartiers pauvres, où nombre d’Asiatiques s’installent pour acheter toutes sortes de petits commerces: nettoyeur, dépanneur, etc. Ces gens-là travaillent très fort, et j’admire cela, mais aucune mesure ne les incite à parler français. À Verdun, à Pointe-Saint-Charles ou encore à Ville-Lasalle et à Saint-Henri, un quartier qui s’anglicise comme jamais, on est de plus en plus souvent confrontés à des commerces où le service est unilingue anglais. Faut-il agir? «Non», dit le Parti libéral ...
Pour conclure sur l’effritement de la société dite «distincte» du Québec: puisque le nombre d’allophones dépasse maintenant celui des francophones dans les classes des écoles de Montréal, allons-nous prendre nos responsabilités? «NON», diront les libéraux ...
No comments:
Post a Comment