https://www.ledevoir.com/lire/525104/livres-de-la-necessaire-epreuve-des-faits
Mais c’est encore et toujours un constat juste, croit Michel C. Auger. « À écouter le débat public ces temps-ci, on pourrait penser que la loi 101 n’a jamais été adoptée il y a 40 ans et qu’elle ne fut pas un remarquable succès, écrit-il dans la préface de l’ouvrage. On pourrait aussi croire que l’immigration est la première menace à la survie d’une société francophone en Amérique. Ou que le Québec est le prisonnier d’une Constitution néocoloniale et immuable qu’il ne peut modifier. »